De quelle couleur est l’échec ?
Quand tout va bien, nous sommes dans une période dorée et nous voyons la vie en rose. Mais dès que nous frôlons l’échec, nous voyons rouge et avons une peur bleue du regard des autres. Avec une mine grise, nous rions jaune en racontant nos mésaventures, tout en broyant du noir. Et, bien sûr, nous passons des nuits blanches à nous répéter que nous sommes dans le rouge.
Accepter et transformer l’échec
Quelle est donc la solution ?
D’abord, accepter la réalité. Il faut donner le feu vert à nos émotions et se mettre au vert pour prendre du recul et y voir plus clair. L’échec n’est pas une fin en soi, mais un passage qui peut nous mener vers une meilleure compréhension de nous-mêmes et de nos objectifs.
Se faire accompagner pour rebondir
Si l’on n’a pas un moral d’acier, deux options s’offrent à nous : appeler ses amis et enchaîner les apéros, ou convoquer son buddy – son coach. Ce dernier mettra en lumière notre personnalité et nous aidera à éclairer nos solutions.
Un coach ne juge pas, il accompagne, pose les bonnes questions et nous permet d’explorer des perspectives insoupçonnées. Il nous aide à transformer chaque chute en tremplin vers une nouvelle opportunité.
L’échec : un puissant levier d’apprentissage
Chaque échec, quelle que soit sa couleur, est une source précieuse d’apprentissage. Il nous invite à analyser nos actions, ajuster notre trajectoire et avancer avec plus de clarté et de force.
Comme le dit le proverbe : « L’échec est la mère du succès. » Alors plutôt que de le craindre, apprenons à le voir comme une étape essentielle de notre parcours vers la réussite.
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